Famille Parvex

Armoiries

D’azur à 2 peupliers de sinople issant d’une muraille d’argent, maçonnée de sable, occupant la pointe ; entre les peupliers, en chef, une colombe volante d’argent.

Communication de M. John Baud, Académie chablaisienne, à la famille. Variante: les peupliers d’or.

De sable au chevron versé d’or soutenu d’une fasce abaissée du même.

Ancienne marque de famille qui ferait jeu de mots par Ve soit Parvex. Cf. Armorial valaisan, 1946, pp. 190-191.

Origines

Parvet, Parveti, Parvé, Parvex, Parvey, Parvez ; probablement dérivé de parvus, parvulus, petit. Ancienne famille bourgeoise de Collombey-Muraz et, autrefois, de Monthey, qui se rattache peut-être à Pierre et Anselme Parvel, de St-Triphon, cités vers 1231-1232. Pierre Parvet, mentionné 1427, épouse Jaquemette de Lolomont (de l’Olomont, de Lalomont, Delalomont, Delolomont, famille de Muraz et Monthey) dont il eut un fils, Nicod ; Jean, notaire, 1449 ; Jean, petit-fils de Pierre, épouse Marguerite de Neuvecelle (morte avant 1551), d’Aigle, est notaire, maître es-lois, châtelain de Monthey pour le duc de Savoie 1510-1511, secrétaire du juge de Monthey 1517-1524, lieutenant du juge 1525-1535, secrétaire du gouvernal 1536-1538 ; François, fils du précédent, notaire, curial du château de Monthey 1556-1564, épouse Hippolyta de Nucé ; Guillaume, cité comme bourgeois de Monthey 1575 ; Me Claude, bourgeois de Monthey, syndic 1714, fonde une messe au rectorat de l’hôpital 1717 ; Joseph, fils d’Antoine, syndic de Muraz, prieur de la Confrérie du Saint-Sacrement 1751-1754, syndic bourgeoisial 1762, encore mentionné en 1787 comme ancien syndic de Collombey-Muraz ; Michel, syndic d’En-Bas à Monthey-Collombey 1762 ; Antoine, syndic de Muraz 1776 ; Joseph, agent recenseur 1798, châtelain de Collombey-Muraz 1803 ; Jean-Didier, notaire, 1834 ; Norbert, président de Collombey-Muraz 1853 ; Jean-Didier (1864-1939), député 1933-1937 ; Georges, né en 1927, avocat-notaire, député 1965-1969.

Photos

Famille de Camille Parvex et Angeline Turin vers 1895

Famille d’Emile Parvex et Louis Parvex vers 1920